Je piétina quelques minutes sur place, ma tête au niveau de mon poitrail. Je cessa d'un coup de piétiner tout en laissant ma tête au même endroit. Sans prévenir, je dressa violemment et puissamment ma tête et je lanca un hennissement strident et cour, déchirant l'air frai et calme de la nuit. J'observa les alentours puis, je partis au galop en dévalant la pente de la crête, quittant mon petit coin remplis de lumière nocturne que, quand mes sabots s'étaient soulever du sol de la crête, avais disparu, cacher derrière un nuage...