en chaleur !!!

Je leurs balanca au passage.
"C'est ça ! Sauvez vous !"
Je décocha une ruade dans Coktail et je poursuivis.
"Aller savoir qui c'est les idiots !"

hennit completement paniquer ne sachant pas quoi faire

Fresh se retourna avec agilité, évitant au passage le coup de sabot.

"On s'enfuit pas, monsieur, on galopait. Pis je verrait pas pourquoi on s'enfuirait, tu nous a rien fait. Pis en plus toi, le machin noir, t'es si fin qu'on te vois pas. J'ai l'impression d'parler à du vide. Moi j'ai d'la graisse, oui et alors ? J'assume moi, et au moins on risque pas de me perdre dans une clairière.

Il sourit, chieur le mec, dit ! Mais alors, vraiment chieur !

"Ouais, mais si je me perd, j'suis pas assez bête pour ne pas retrouvez mon chemin ! J'suis pas comme toi !"
Pfff ! Fait pitié ! S'croit chiant ? Bhin j'vais lui dire moi, il fait juste grave gamin !

"Si tu sais retrouver ton chemin, a veux dire que tu te perds. Faudrait déjà pas savoir se perdre, se que je n'fait pas.

Il rit ironiquement

"Tu t'es brulé avec ton cigare ? Nan, juste pour savoir, moi je fume pas, c'est pas bon.

Je ne voyais pas en quoi il y avait un raport entre etre bruler avec un cigare et la cituation. Mais bon, quand on est bête, on est bête ! C'est comme ça, personne n'y peut rien !
"Mieux vaut fumer que d'avoir te tronche, pôv' naze !"
Je ricana. Ce n'étais pas un petit poney haflingers de se genre qui allait me vanner aussi facilement ! Ou non ! Fire a toujours une réponse, toujours...

"En tout as je préfère avoir une tronche de porc que d'avoir ta face de mouche.

Le pauvre étalon noir. Il continuerai à lui pourrir la vie longtemps si il répondait comme sa.

Lui ? Me pourrir la vie ? La fumer du chîte ou quoi ? Il en faut bien plus pour me pourrir la vie ! Tant qu'il n'aura pas compris à quel point il a l'air débile quand il essaye de vanner les autres, il serra peut être plus intelligent ! Et encore, c'est à voir…
"Peut être ! Mais si seulement tu n'avais que la tête d'un porc, ce serrai merveilleux ! Le blème, c'est que t'as le physique et l'odeur avec !"

"Ah ! si ça, c'est moi, alors toi je te dit pas l'horreur !

Je voyais bien que je commençais à l'énerver ! Et oui, vanneur un jour, vanneur toujours...
"Rien ne pourrait être pire que toi, ta tête et ton odeur de porc ! Même ma soit-disante 'face de mouche' !"

Il ne m'énervait pas du tout, j'était calme comme un dieu au paradis
"Ecoutez, jeune étalon, je sais que j'ai un gros nez mais...
Ah ! non ! c'est un peu court, jeune étalon !
On pouvait dire... Oh ! Dieu !... bien des choses en somme...
En variant le ton, -par exemple, tenez
Agressif : "Moi, monsieur, si j'avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champs que je me l'amputasse !"
Amical : "Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap !"
Descriptif : "C'est un roc !... c'est un pic !... c'est un cap !
Que dis-je, c'est un cap ?... C'est une péninsule !"
Curieux : "De quoi sert cette oblongue capsule ?
D'écritoire, monsieur, ou de boîtes à ciseaux ?"
Gracieux : "Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ?"
Truculent : "Ca, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu'un voisin ne crie au feu de cheminée ?"
Prévenant : "Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol !"
Tendre : "Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane !"
Pédant : "L'animal seul, monsieur, qu'Aristophane
Appelle Hippocampelephantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d'os !"
Cavalier : "Quoi, l'ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c'est vraiment très commode !"
Emphatique : "Aucun vent ne peut, nez magistral,
T'enrhumer tout entier, excepté le mistral !"
Dramatique : "C'est la Mer Rouge quand il saigne !"
Admiratif : "Pour un parfumeur, quelle enseigne !"
Lyrique : "Est-ce une conque, êtes-vous un triton ?"
Naïf : "Ce monument, quand le visite-t-on ?"
Respectueux : "Souffrez, monsieur, qu'on vous salue,
C'est là ce qui s'appelle avoir pignon sur rue !"
Campagnard : "Hé, ardé ! C'est-y un nez ? Nanain !
C'est queuqu'navet géant ou ben queuqu'melon nain !"
Militaire : "Pointez contre cavalerie !"
Pratique : "Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot !"
-Voilà ce qu'à peu près, mon cher, vous m'auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d'esprit
Mais d'esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n'en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n'avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d'ailleurs, l'invention qu'il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n'en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d'une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu'un autre me les serve.

Pfff...pitoyable ce discoure ! J'irais même jusqu’a dire ennuyant !
"Que ce que j'en ai a faire moi, d'avoir de l'esprit ou non ! J'suis un guerrier, pas un poète ridicule qui se lamente sur son sort !"

"Oh mais se lamenter, tu en es un professionel.
Tu te rabat sur les autres pour qu'ils t'aident à te lamenter.
Mais mon bel ennemi, vous devenez votre propre contraire.
Mais je n'irait pas jusqu'a me soustraire
Et si mon discours est ennuyeux, sachez que vous n'utilisez que six lettres de moches d'écriture
Pour faire un horrible littérature.
Mais sachez qu'au moins, je sais aligner plus de 20 mots,
Et avec le sourire, jeune sot !

"Bhin t'en mieux pour toi si t'arrive a aligner plus de 20 mot a la suite mon grow cochon, mais sa ne t'aidera pas a devenir plus beau, ni a faire pousser un cervelle plus vite dans ta boite crânienne aplatie !"
Tadame ! Vingt mots à la suite, mais son le sourire et sans un brin de ridicule !

"Quel exploit mon jeune ami !
Oui, monsieur, poète ! et tellement,
Qu'en ferraillant je vais- hop ! - à l'improvisade,
Vous composer une ballade.
Attendez !... je choisis mes rimes... Là, j'y suis.
Il fait ce qu'il dit, à mesure.
Je jette avec grâce mon feutre,
Je fais lentement l'abandon
Du grand manteau qui me calfeutre,
Et je tire mon espadon ;
Elégant comme Céladon,
Agile comme Scaramouche,
Je vous préviens, cher Mirmydon,
Qu'à la fin de l'envoi je touche !
Premiers engagements de fer.
Vous auriez bien dû rester neutre ;
Où vais-je vous larder, dindon ?...
Dans le flanc, sous votre maheutre ?...
Prince, demande à Dieu pardon !
Je quarte du pied, j'escarmouche,
Je feinte sans que l'on me touche
Et sans toucher adversaire du bout des dents
Jamais il ne me mettra à sang !

"Pfff...ça deviens naze !"
Je fouetta l'air de ma queue, couchant mes oreilles. Reloud l'autre porc odorant avec ces rime grossier et débile !
"T'sais quoi, s'tu veux dire des bêtise en verre et paragraphe, tu n'as cas allez ailleur exercer ton talant de crétin parlant !"

"Je vais où bon me semble, maraud !
Et si des dents je claques l'ambiance deviendra flambeau.
Et se n'est que pour t'agacer que je rimes ainsi,
Espèce de sot cramoisi !

Il hennit méchemment

"Attaque donc, j'éviterait,
Souris de parquet !

M'énerver, en faisant des vers ? Pitoyable ! C'est jusque que l'ambiance devient grâce naze quand un porc ce met à faire de la poésie et que dormir me ferait gagner plus de temps que d'écouter cette idiot !
"Non, si je t'attaque, même pas, si je te touche, j'vais sentir le porc et la bouffe moisis pendant des mois ! En plus, tu me fais plus pitié que tu ne m'agace !"

"Moi je vais te toucher !
Ainsi je préfère me rebeller
Que de m'effacer sans un rire
Sur cette terre, que toi, y'a pas pire !

Il se colla à Black Storm [stp, il loupe pas le coup, pour voir la réaction xD]

[Ca, je verrais bien !]

"Plus pire qu'un cochon embulant ca n'existe pas !"
Je resta sur mes quatres membres, près a sauter n'importe ou ! Pas envis de sentir le moisis moi !

"Si, un Black Fire ambulant, ça reviens à la pu** de luxe ! Pire que moi en clair... Vu que pour moi les juments, je m'en fout.

Il avança avec calmevers la fôret

"Moi aussi je m'en fou, ce ne son que de vulguaire jouet a saillir !"
Je ricana. Enfin, le grow porc partait avec son ami le blaireau noir ! niark Niark ! Je ne bessa pas la garde pour autant !

[Black Storm est partit, tu t'es cassée seule... pas grave^^]

"Les juments son comme les étaons, sauf qu'elles emmènent la vie ! Mais je croit qu'on peut s'arranger, j'en ai un, jouet...

[lol fallais le dire ^^!]

"Hum...est en quel honneur devrais-je faire confiance à un étalon du bien ?"

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