J'évita ses postérieurs avec facilité et agilité puis, ayant l'occasion, j'attrapa un postérieur qui se trouvait sous mon nez, coté tendons. Vu qu'il continuait à taper l'air, je lui déchirais petit à petit la peau, finissant par libérer le tendon ensanglanté. D’un coup je lui lâcha le pied et, vivement, je planta mes dents en plein dans sa gorge. Je profita qu’il soit couché pour le plaquer au sol, sans le lâcher. Mes mâchoires se plantaient de plus en plus profondément, dégagent abondamment le sang chaud.